samedi 15 mars 2014

Les sanctuaires shintoïstes

Jinja

Taketo IKEUCHI

1.   Intruduction
On dit que se trouvent plus de 88 000 jinja ou sanctuaires shinto dans tout le Japon. Dans la seule ville de Kyoto, il y a plus de 600 sanctuaires.

Dans cette étude, on présente les bases du shintoïsme.

Nous espérons que cette étude vous permettra de découvrir davantage le Japon et les bienfaits des kami ! 

2.   Qu’est ce que le jinja ?
Le terme jinja  se compose de deux idéogrammes chinois : jin   et  ja  . Jin veut dire « divinité », Ja « maison ». Ainsi, jinja  repésente l’endroit où la divinité habite et où on la vénère et la prie.

On y fait des fêtes Matsuri 祭り  aussi. A l’origine, le matsuri servait pour remercier la divinité shinto de la bonne récolte de riz.

3.   Qu’est ce que la divinité shinto ?
Il est difficile de déterminer ce que la divinité shinto est. Le mot « kami » existe en français, qui signifie la divinité shinto. Un Kami est une divinité particulière dont la compréhension est difficile. Cependant, on dit souvent que le kami a une existence qui donne la peur et le respect aux gens, comme la nature. La nature nous apporte des bienfaits comme les produits agricoles, mais elle nous apporte aussi le malheur, comme des catastrophes naturelles.
Le bienfait que le kami nous apporte s’appelle niki(gi)tama和魂  en japonais. Le malheur que le kami nous apporte s’appelle aratama 悪魂.
On adore la nature, nos ancêtres ou des personnages historiques réels en tant que kami. De nos jour, on adore aussi les artistes et groupes d’idoles comme des kamis.

4.   Qu’est ce que le shintoïsme ?
Le shintoïsme est une religion propre au Japon. Mais, certaines personnes disent que le shintoïsme n’est pas une religion, parce que ses caractéristiques sont très différentes des autres religions comme le bouddhisme, le christianisme et l’islam par exemple. Dans le shintoïsme, il n’existe pas de fondateur ni d’obligation d’obéir aux dieux comme les autres religions. On demande aux kamis de résoudre ses problèmes en les remerciant et en recevant leur aide, le bienfait, goriyaku ご利益 » en japonais.

On voit souvent un miroir dans le bâtiment sacré des sanctuaires. En japonais, on appelle cela le kagami. Si on supprime la syllabe du milieu « ga » qui signifie « soi-même », il reste le terme « kami ». En effet, cela représente l’idée que la croyance existe en soi-même.

On croit pouvoir être purifié par des cérémonies, comme le harai ou le misogi, de toutes nos fautes, souillures et impuretés qui s’appellent les kegare 穢れ. On déteste le kegare , parce que on croit que le kegare apporte le malheur. On dit que le malheur apporté par le kegare  est une malédiction, le tatari 祟り en japonais. On croit que le kegare est causé par l’accouchement et les règles, la maladie et la mort. Si l’on considère les femmes comme des personnes impures, c’est à cause de cette notion. Il y a donc des sanctuaires qui interdisent d’ entrer aux femmes.

On croit depuis longtemps que les âmes des morts restent là où ces derniers ont vécu et deviennent des dieux gardiens. Le culte des ancêtres est ainsi un des éléments essentiels du shintoïsme.

5.   Histoire
On dit que l’origine du shintoïsme est l’animisme(自然崇拝) de l’époque de Jômon, de 14 000 à 300 av J-C.  A l’époque de Yayoï, de 300 av J-C à 300 AP. J-C, la riziculture commence à se répandre et on respecte de plus en plus les ancêtres qui ont démarré l’exploitation des fermes. C’est le début du culte des ancêtres(先祖崇拝). Et puis, l’empire de Yamato apparaît. La maison impériale est considérée comme descendant d’un kami, ce qui favorise sa domination sur la population. On dit que c’est la culte d’Ise(伊勢信仰. Ce sont les trois éléments essentiels du shintoïsme.

On dit que le plus ancien sanctuaire shinto est celui d’Ômiwa jinja 大神神社  dans la préfecture de Nara. Il semble qu’il a été constuit en 91 av J-C . Cependant, il y a de nombreux sanctuaires ayant tellement de longues histoires que l’on ne peut pas être certain de leurs origines.

6.   Le kami que l’on vénére
Dans chaque sanctuaire, le kami que l’on vénère est différent. Chaque kami nous apporte un bienfait particulier. Par exemple, il y a la divinité de l’agriculture, de la santé, de l’amour, du commerce, de l’accouchement facile, des études, du succès dans la société, de l’argent, des voitures, de l’avion, du sport, des cheveux etc. Comme vous vous en êtes d’ores et déjà rendu compte, il y plusieurs kamis. On dit qu’il y a environ 8 millions de kamis au total. En fait, ce chiffre n’est pas un chiffre exact mais représente l’idée qu’il existe en fait un nombre incommensurable de kamis.

Pour recevoir le bienfait du kami que vous voulez, il faut aller au sanctuaire où on le vénère, sinon, cela n’est pas efficace.
Par exemple, si vous voulez bien vous entendre avec un homme ou une femme qui vous plaît, vous devez aller prier le Kami approprié. Si vous voulez connaître l’amour, il faut aller prier la divinité de l’amour et non pas la divinité du commerce.

7.    Jinja principaux
Parmi les 88 000 sanctuaires dans tout le Japon, il y a un grand nombre de sanctuaires qui sont affiliés à trois grands sanctuaires principaux. Il s’agit de Inari-jinja , Hachiman-jinja et Tenmangu jinja. Au total, il y a environ 30 000 Inari-jinja, environ 25 000 Hachiman-jinja et 12 000 Tenmangu. D’autre part, ll ne faut pas oublier l’Ise Jingû et l’Izumo Taisha qui sont des sanctuaires très importants.

7-1 Inari-jinja
Les Inari-jinja vénérent le kami de la bonne récolte et de la nourriture. On adore aussi ce kami pour le bon commerce et la bonne santé. Le nom du kami vénéré est « Ukanomitama no kami ».
Fushimi-inari est le principal sanctuaire d’inari.

7-2 Hachiman-jinja
Hachiman-jinja vénère l’empereur «Ôjin » 応神  . On l’adore comme divinité des arts martiaux et celle des études.
Usa jingû est le plus principal sanctuaire de hachiman. Il se situe dans la préfécture d’Ohita, à Kyushu, le sud du pays.

7-3 Tenmangû
Tenmangû vénére Sugazara no michizane  菅原道真. Il a vécu à l’époque de Heian ( de 845 à 903). On l’adore comme la divinité des études, de la poésie et de la calligraphie.
Dazaifu-tenmangû et Kitano-tenmangû sont les plus principaux sanctuaires de tenmangû. Ils se situent respectivement à Ohita et à Kyoto.

Michizane travaillait en tant que ministre à Kyoto. Il était très intelligent et  eut un avancement exceptionnel. Un jour, on l’a relégué loin de Kyoto à cause d’un complot. Il a fini sa vie dans la déception.

Quand il est mort, à Kyoto, on dit que le tonnerre a grondé. Après, l’éclipse du Soleil, des sécheresses, des inondations et des maladies infectieuses se sont produites. Des personnes concernées par le complot contre michizané ont subi la mort subite.
De plus, un bâtiment de palais impérial a été détruit à cause de la foudre.

On a considéré que ces malheurs en série ont été provoqués par sa malédiction. Pour apaiser son âme, on a construit le Tenmangu jinja.

7-4 Ise Jingû
Ise Jingû est le plus grand et le plus important sanctuaire du Japon. Le kami du Soleil, Amaterasu Ômikami y est vénéré. C’est l’ancêtre de l’empereur.

Généalogie du kami

7-5 Izumo Taisha
Le kami de l’amour, Ôkuninushi no mikoto y est vénéré. Ce sanctuaire se situe dans la préfecture de Shimane.

Ce kami enseigne un remède à un lapin dont la peau a été décollée par un requin. Il est gentil et a du succès auprès des kamis féminins, comme yakami hime et nunakawa hime par exemple. C’est pour cela qu’on l’adore comme le kami qui apporte des bonnes relations avec quelqu’un qui nous plaît.

8     Qu’est qu’il y a dans l’enceinte d’un jinja ?
On peut voir beaucoup de sortes de bâtiments dans l’enceinte d’un sanctuaire. Chaque construction a sa propre structure et son rôle.

Ce qui compte, c’est de prier le kami de la manière correcte. En faisant cela, vous serez heureux grâce à la protection divine.

8-1 Torii
C’est un portique marquant l’entrée d’un sanctuaire. Il joue un rôle de frontière entre la terre où nous habitons et le monde sacré où les divinités habitent. Quand on franchit le Torii, on doit s’incliner pour montrer notre respect vis-à-vis des divinités. Dans certains sanctuaires, il y plusieurs Torii. Plus on franchit de Torii, plus on s’approche du kami.

La plupart des Torii sont de couleur vermillon. On dit que le vermillon est une couleur qui permet de conjurer le mauvais esprit.

8-2 Komainu 
On voit de part et d’autre des Torii ou des bâtiments sacrés « Haiden » 拝殿  pour prier le kami , une paire de statues en forme de chien. Cela s’appelle le « Komainu 狛犬 ». Ce n’est pas une représentation d’un vrai chien, mais d’un animal fictif. Dans le guide Michelin, on parle de « Chiens coréens » . Le komainu joue un rôle de messager du kami et aussi de protecteur de sanctuaire. Même si c’est le plus souvent une paire de statues en forme de chien, dans certains sanctuaires, il y a une paire de statues en forme de sanglier, dragon, lapin, serpent, singe, poisson, rat ou kappa.

8-3 Sandô
C’est un chemin sacré reliant le Torii et le bâtiment sacré où le kami se trouve. De plus, il vaut mieux marcher sur le bord du chemin, parce que l’on croit que sur le milieu du chemin, Seichu 正中 , le kami passe. S’il y a des gravillons sur le chemin, c’est parce qu’on dit que les gravillons purifient l’enceinte d’un sanctuaire et conjurent le mauvais esprit. Cela permet aussi de remarquer facilement les intrus, comme le permet aussi le « plancher rossignol » [à expliquer]

8-4 Temizusha (Chouzu dokoro / Chouzu ya)
Le terme Temizucha 手水舎  veut dire littéralement l’endroit où on se lave les mains. Il s’agit d’un endroit où on se purifie avant la prière devant le kami.

La façon de se purifier est suivante:
1.    S’incliner et remplir la louche avec de l’eau
2.    Tenir la louche de la main droite et se laver de la main gauche
3.    Changer la louche de main et se laver la main droite
4.    Reprendre la louche avec la main droite et mettre de l’eau dans le cruex de la paume de sa main gauche
5.    Se rincer la bouche et recracher l’eau doucement
6.    Se laver de nouveau la main gauche, puis maintenir la louche à la verticale avec les deux mains et la nettoyer
7.    Replacer la louche à l’envers où elle se trouve à l’origine et s’incliner une dernière fois

Exécuter les étapes 1 à 7 avec une seule mesure d’eau

8-5 Haiden
C’est un bâtiment sacré pour prier le kami. On considére que le kami se trouve dans le bâtiment le plus sacré derrière le Haiden, le Honden 本殿 . Cependant, il est absolument interdit d’entrer dans le Honden. Si bien que l’on prie le kami devant le Haiden.

La façon de prier est suivante :
1.    S’incliner légèrement
2.    Sonner une cloche et lancer de l’argent dans une boîte
3.    S’incliner profondément à deux reprise
4.   Joindre les mains en placant la main droite légèrement en retrait vers l’arrière
5.    Frapper deux fois dans ses mains
6.    Dire les remerciements pour le kami, préciser son nom et adresse et formuler ses voeux dans sa tête

C’est mieux de formuler vos voeux pour les choses que vous voulez réaliser

Par exemple, « je me marie » est mieux que «  j’espère que je me marierai ». Bref, prendre une résolution pour quelque chose devant le kami est important. Vous ne vous voulez pas reculer n’est-ce-pas ? Il semble que le kami aime encourager les gens qui prennent une résolution pour leur avenir. Du coup, le kami pourra apporter le bienfait pour vous qui avez du courage !!

8-6 Honden
C’est le bâtiment le plus sacré et le plus important dans l’enceinte d’un jinja. C’est parce qu’il abrite le Goshintaï 御神体 . Le goshintaï est un objet sacré qui représente le kami. Il s’agit d’un miroir, d’une pierre etc. Il y a des sanctuaires qui n’ont pas de Honden . Dans ce cas, la montagne derrière le Haiden est considéré comme Goshintaï.

Les trois objets sacrés les plus importants symbolisent la succession de l’empereur. C’est-à-dire que l’empereur possède ces trois objets sacrés. Il s’agit de l’épéeamenomurakumono turugi叢雲剣, le miroir yatano kagami 八咫鏡 et le bijou ornementalyasakanino magatama 八尺瓊勾玉

9     Le culte mixte (lien entre le shintoïsme et le bouddhisme)
« Shinbutushugô 神仏習合 »
Le plus souvent, on voit un jinja et un temple bouddhiste dans une même enceinte. Pourquoi ?

On dit que les Japonais sont des polythéistes. Nous n’avons pas de religion exclusive.

Par exemple, quand un bébé naît dans une famille, on l’emmène au sanctuaire shinto en priant pour sa bonne santé et croissance. Les parents accompagnent les garçons de trois ou cinq ans et les petites filles de trois ou sept ans pour la prière de leur bonheur au sanctuaire. Cependant, on fête aussi Noël tous les ans et on tient souvent les cérémonies de mariage dans une église avec parfois l’aide d’un faux prêtre. Enfin, on fait les funérailles à la manière du bouddhisme.

Dès l’introduction du bouddhisme au Japon au 6ème siècle, les Japonais ont réfléchi au moyen d’intégrer la nouvelle religion, le bouddhisme dans le shintoïsme. On a considéré certains kamis comme protecteurs du bouddhisme. Et puis, au 10ème siècle on a considéré certains kamis comme incarnation du bouddha ou des boddhisattvas. Enfin, au 13ème siècle, on a identifié certains kamis avec certains bouddhas. On appelle cette pensée « Honji suijaku 本地垂迹 ».

Par Wikipédia ;
Le terme honji suijaku ou honchi suijaku (本地垂迹, honji suijaku ou honchi suijaku) dans la terminologie religieuse japonaise renvoie à une théorie largement acceptée jusqu'à l'ère Meiji selon laquelle des divinités bouddhistes indiennes ont choisi d'apparaître au Japon comme des kami natifs afin de plus facilement convertir et sauver les Japonais[1][.]

Exemple :
Dainichi-nyorai ou Boddisattevas = Amaterasu ômikami
Daikokiten                     = Ôkuninushi no mikoto

Le gouvernement de l’ère Meiji, de 1868 à 1912, a donné une énorme importance au shintoïsme, et a poursuivi une politique ferme de séparation entre les deux religions, le shintoïsme et le bouddhisme, appelée « Shinbutu bunrirei 神仏分離令 ». A l’époque d’Edo (1603 à 1868), le shoguna Tokugawa a utilisé les temples bouddhistes et leur a donnés quelques privilèges politiques. En conséquence, les temples ont commencé à avoir une grande puissance. Toutefois, les citoyens étaient mécontents des temples et de cette situation. Par opposition, le gouvernement de l’ère Meiji a utilisé le shintoïsme pour gouverner le pays au nom de l’empereur.

Cependant, ce n’était pas facile de séparer les deux religions psychologiquement, dans le cœur des gens, parce que le culte mixte subsistait dans la vie du peuple. Si bien que pour séparer les deux religions, le mouvement de l’éradication du bouddhisme a été provoqué. Ce mouvement s’appelle le « Haibutu kishaku 廃仏毀釈 » . Lors de cela, beaucoup de temples, de bâtiments, de statues et de soutras ont été détruits ou ont été écoulés à l’étranger.

En fait, il y a des points communs dans les rituels. Dans le shintoïsme comme dans le bouddhisme, on prie le kami ou le bouddha pour être exaucé dans ses vœux et demander une protection dans la vie. C’est pareil.

En revanche, ce qui diffère entre c’est que dans le shintoïsme, le kami a une existence invisible alors que le bouddha a une existence visible. On doit annoncer ce que l’on est venu prier devant le kami en sonnant la cloche et en frappant dans ses mains, tandis qu’on n’a pas besoin de frapper dans ses mains devant le bouddha. Le bouddha est visible, en forme de statue, devant nous. Il y a une forme d’idolâtrie dans le bouddhisme.

10   Plaisirs dans le sanctuaire
10-1 Goshuin
Goshuin 御朱印  est un sceau vermillon avec le nom du sanctuaire et le jour de la visite écrit à l’encre de Chine. On peut recevoir le goshuin dans la plupart des sanctuaires et des temples bouddhistes moyennant 300 yen ou parfois plus. A l’origine, le goshuin était une marque qui certifiait que l’on avait copié un sutra et qu’on l’avait fourni à un temple. C’est joli et artistique, n’est ce-pas ? On dit que le cahier contenant les goshuin sera le passeport pour le paradis. Si on le met dans un cercueil d’un mort, le mort pourra aller au paradit.

10-2 Omikuji
Les japonais ont aussi l’habitude d’acheter des Omikuji, des prédictions, que l’on peut tirer dans les sanctuaires shintoïstes et les temples bouddhistes. Il s’agit d’une révélation faite par les dieux. Elle est divisée en plusieurs niveaux de chances. De la meilleure à la pire il y a : la grande chance (daïkichi), la chance moyenne  (chukichi), la petite chance (shôkichi), la chance(Kichi), la demi-chance (hankichi), la malchance(suekichi), la malchance moyenne (kyô) et la grande malchance(daïkyô).  
Si vous avez tiré une bonne fortune, vous pourrez la garder sur vous-même, par exemple, en la mettant dans votre portefeuille. Mais même si vous avez tiré “malchance” ou “grande malchance”, ne vous en faites pas. Vous n’avez qu’à l’attacher en nouant cette fortune sur une branche d’arbre ou une barre en fer réservée à cela située dans l’enceinte. A quelque chose malheur est bon.
On peut tenter la chance normalement moyennant  200 yens!

10-3 Ema
C’est une offrande pour le kami en forme de petite plaquette. On y écrit ses vœux et son nom. Le terme  Ema 絵馬 veut dire « dessin de cheval » littéralement. Comme son nom indique, un cheval est dessiné sur la plaquette. Autrefois, il paraît que l’on faisait une offrande d’un vrai cheval.

10-4 Environnement
Les sanctuaires se situent dans la forêt. Ils jouent un rôle de « Power Spot » : un lieu qui nous donne une quelconque énergie positive. Cependant, on doit être décontracté si l’on est dans l’enceinte d’un sanctuaire. Tant mieux pour évacuer son stress !

Conclusion
Nous avons pu présenter ici qu’une petite partie du thème des jinjas et du  shintoïsme. De plus, nous avons essayé de les expliquer le plus facilement possible pour les étrangers qui viennent au Japon pour la première fois.

Comme il y a de nombreuses légendes intéressantes concernant le shintoïsme et qu’il y a de nombreuses fêtes shintos, nous voulons les présenter dans un prochain exposé.

On croit que les kamis ont crée le Japon et qu’ils sont toujours à nos coté. On dit que le bouddhisme est une religion dans laquelle on regarde (les statues de bouddha etc.) et le shintoïsme, une religion dans laquelle on sent.  Sentez sans théorie ni préjugés et venez vous décontracter dans les sanctuaires. Sûrement, vous devriez être heureux grâce aux kamis.


Notes de références :
・「Jinja no KihonEishuppan, 2013
「神社の基本」 枻出版社
・「Gaikokujin ni yoku kikareru Nihon no shukyo
「外国人によく聞かれる 日本の宗教」BILINGUAL EDITION
IBC パブリック株式会社 2011
・「Furansuji ga Nihonjin ni yokukiku 100 no shitumonSanshusha,2013
「フランス人が日本人によく聞く100の質問」三修社 2013
・「Nihon no Jinja Izumo taishaDeAGOSTINI 2014
「日本の神社 出雲大社」創刊号
・「Aruitetanoshimu Kyoto」 JTBpubliching, 2011
「歩いて楽しむ 京都」 JTBパブリッシング
Guide Michelin Japon/ Le Guide Vert
Des articles sur Wikipédia
Mickey Fukui,  Le Shintô  
・「Tenno to Jinja Mediax 2014

「天皇と神社」 株式会社メディアックス 2014

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